Mise en garde contre le danger de l’infiltration de la Confrérie musulmane et de ses groupes affiliés dans les systèmes et entités politiques et éducatifs américains

Tariq Fattah, éminent chercheur au “Middle East Forum”, a lancé un avertissement contre le danger que représente la pénétration de la Confrérie des Frères musulmans et des groupes qui lui sont affilés, dans les entités et les systèmes politiques et éducatifs aux Etats-Unis, indiquant que “les groupes islamiques politiques représentaient la principale source de menace pour les civilisations européennes”.

Tariq Fattah, écrivain et chercheur pakistanais-canadien et fondateur du Congrès musulman canadien, a expliqué lors d’un séminaire qu’il a donné au Forum du Moyen-Orient par vidéoconférence, que les groupes de l’islam politique exerçaient un contrôle sur les entités et les personnalités politiques américaines de façon évidente. Il a déclaré : “Ils ont imposé leur contrôle sur tous les politiciens du pays, qu’ils soient démocrates ou républicains. Dans leurs maisons, il y des photos d’eux accrochées dans différentes pièces.”

Dans ses déclarations, il a attiré l’attention des participants au forum sur le fait que la majeure partie des subventions gouvernementales pour les organisations de la communauté musulmane aux Etats-Unis, se retrouvait en fin de compte entre les mains des organisations affiliées aux Frères musulmans, qui ont réussi à “tromper le système américain”.

Le chercheur a averti qu’en plus des institutions politiques, la “Fraternité” s’insinue toujours dans les établissements américains de l’enseignement, citant “l’Union des étudiants musulmans” qui existe dans presque tous les lycées et toutes les universités américaines.

Fattah a ajouté: “Si les pays européens ne s’accordent pas sur l’idée que l’islam politique est devenu une menace existentielle pour eux, alors ceux qui confondent la religion avec la supériorité politique continueront à faire des lavages de cerveau aux futures générations de musulmans en Occident, en utilisant les allégations d’islamophobie et en soulevant des polémiques liées au colonialisme et à la race.”

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